| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires |  | | 53 messages postés |
|  Posté le 23-04-2007 à 15:45:21   
| Carmen atterrit au milieu de l'immnesecour recouverte de fleur avec élégance, alors que la Lune poitait déjà haut dans le ciel, complètement déboussolée. Ce qu'elle venait de vivre l'avait pertuurbée. Pas tant le fait qu'elle s'était mise en danger de mort, elle adorait ça, simplement qu'elle avait pu se tromper à ce point sur le compte de cet homme. Elle l'avait pris pour un aimable poète aléors qu'il n'était qu'un... Il n'y avait même aps de mot pour décrire un être aussi abjecte.
Elle poussa un soupir exaspèré, rentra chez elle, fila prendre la douche pour se débarasser de l'odeur de ce monstre et partit directement se coucher. Son mari la rejoint quelques temps plus tard, sentant la cigarette, l'alcool et un parfum féminin qu'elle ne connaissait pas encore. Il la prit contre elle avec tendresse et lui murmurant quelques mots d'amour, avec une inspiration largement renforcée par l'alcool et sa maitresse. Elle eut un sourire et se laissa faire. Le fait qu'il la trompe ne la dérrangeait pas tellement. Et puis c'était une coutume de la noblesse alors pourquoi pas. C'était sa façonb à lui de l'aimer encore plus quand il la retrouvait.
Il lui fit l'amour avec une douceur inouie qu'elle svaoura en silence et elle finit par s'endormir contre lui.
Le lendemain matin, ils prirent leur déjeuner ensemble et elle lui annonça la visite imminente de Kael et la présence de Jupiter dans son domaine. Il parut s'en réjouir, ce qui étonna particulièrement Carmen. Il avait l'air de considèrer comme un génie particulièrement drole. Génial...
Il exprima le désir de la voir assister à leur affaire, ce à quoi ellke répondit par une ironie à peine dissimulée.
Je ne vois pas en quoi je vous serais utile. Te sérunjions sont absolument passionante mais ne penses tu pas qu'y inviter une femme est inoportun?
Il éclata de rire. Décidemment, la joie de vivre de cet homme l'épaterait toujours.
Fais un effort, j'aimerais te le présenter. Tu l'aimeras j'en suis sur. Et puis, ça te concerne aussi tu sais. Je compte apporter quelques modifications à ce domaine.
Elle manqua de s'étouffer mais ne broncha pas. Elle l'aprécier? Et puis quoi encore! Elle soupira, alla enfiler une tenue à peu près correcte et s'installa sous la véranda avec un livre qu'elle avait certainement déjà lu en les attendant, ayant cependant un peu de mal à se concentrer sur ses lignes. Elle allait passer la matiné la plus pénible de toute son existence.
Elle soupira et rejeta la tête en arrière, laissant le soleil baigner son visage d'une lumière blanche et lumineuse, faisnat briller les milles diamants qui semblaient parfois recouvrir son visage. Carmen était une belle femme, de l'avis général. Peut être l'une des plus belles. Mais ce qui faisait son charme, son irrésistible charme, c'était ce sentiment que même après l'avoir possèdé, même après l'avoir épousé, mêm en sachant qu'on était le suel homme qu'elle daignait regarder de ses magnifiques yeux couleur ébène, on ne la possèdait pas totalement. Une partie d'elle demeurrait inateignable. Une part de son êtr refusait d'être mis ene captivité, et c'était ça la liberté. Cet homme, il lui avait dit de saisir sa liberté, il ne savait alors pas sur quel chemin il s'engageait. Elle l'avait saisie depuis bien longtemps. Elle l'avait saisie avant même de vori le jour. Et ses gestes aériens. élégants, le prouvaient. Tout le temps, lorsqu'elle était seule et non contrainte de s eplier aux eusses et coutumes, elle volait au dessus du reste.
Et c'est seule, au milieu de cette véranda baignée d'une lumière qui ne faisait que ternir son propre écla qu'elle s'envola intérieurement, Un sourire aérien tirant les traits fins de son visage, les yeux fermés, immobile, elle s'envola vers d'autres rivages.
Elle finit par ouvrir les yeux et passa sa main dans sa chevelure, la faisnat danser au gré de ses gestes, d'une danse qui n'avait rien d'humain. Elle ne se rendait pas compte comme et état d'esprit réveillait s avraie beauté. Comme ce sgestes si simple la révélaient au monde tel qu'elle était. Elle ne voyait pas, quand elle cotoyait les gens du monde et leur servait les sourires qu'ils voulaient voir, comme cela ternissait toutes le spierers précieuses qui étaient enfouies au fond d'elle. Seule, elle était déesse. En compagnie humain, elle retombait à l'état de simple sourire
Message édité le 23-04-2007 à 17:19:57 par Carmen Soares
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Dans toutes nos différences, il n'est qu'une ressemblance. C'est cet amour flou, que j'ai pour vous. Vous êtes la tourmente, de mon ame violente. Je vous aime, je vous aime, je vous aime. |
| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges |  | | 54 messages postés |
| Posté le 23-04-2007 à 17:39:47
| Après ce délicieux interlude, Kael retrouva le cheval de la jeune femme et vit en effet qu'il n'était pas en si bon état. Vieux, quelque peu négligé, il devait représenter plus à ses yeux qu'un simple animal. Oui, il devait être assez important pour qu'elle le garde auprès d'elle si longtemps. Kael emmena donc le cheval chez lui et le soir même, le ferra. Il ne montra aucune résistance et Kael fut patient et même assez préoccupé. Il le soigna, le nourrit et sa couche n'avait pas l'air si mauvaise. Finalement, il regagna son domaine. Rien à voir avec la demeure délabrée. Un vaste terrain, plusieurs fontaines, des décors sombres mais très distingués, cela représentait assez bien le personnage. Il se coucha deux heures durant avant de se préparer pour gagner la demeure des Soares. Il parut avec des vêtements simples mais plutôt classe. Il ne vint pas les mains vides et apporta quelques douceurs en plus du cheval. Le Seigneur Soares l'accueillit avec plus d'amitié qu'il n'en faut. Kael répondit par un sourire fort aimable et une légère inclination. L'autre homme le remercia de s'être occupé de son cheval et l'invita à gagner l'intérieur du domaine. Lorsqu'il arriva auprès de sa femme, il était enchanté, ravi même de pouvoir le présenter à sa chère et tendre épouse. Kael lui, avait complètement changé de caractère. Son personnage se fit affable, respectueux et même agréablement réservé. Il s'approcha légèrement de la jeune femme et saisit doucement la main qui s'offrait à lui. Il sentait que cette main était froide et contrainte de l'accepter. Il n'en fut que plus ravi mais ne le montra sous aucun prétexte. Il arrêta ses lèvres à quelques millimètres de la peau de la jeune femme et dit en la regardant dans les yeux.
" Enchanté de vous connaître enfin Madame. Mille roses ne sauraient faire de l'ombre à votre beauté... "
Le Seigneur Soares rit à ces propos et dit à sa femme qu'il était très séducteur et plein d'entreint lorsqu'il s'agissait des femmes. Kael lui, ne regardait pas la jeune femme. Il se contentait de sourire à son époux, impassible et prit au jeu.
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..: La tentation n'a pas de limites :.. |
| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 23-04-2007 à 19:24:39
| Elle frémit légèrement en entendant le spas se rapprocher d'elle. Encore une fois, elle ne put dire si c'était par crainte ou par excitation. Elle jouait à un jeu dangereux et elle avait rarement rencontré quelqu'un qui l'énerve autant que lui, mais elle devait lui reconnaitre une chose: il la divertissait beaucoup. Elle attendait la suite des évennements avec une certaine impatience.
Elle se leva donc et rencontra un jeune homme parfaitemnet courtois et distingué. Réservé? Il en faisait un peu trop à son gout.
Impression qui se confirma quand il lui fit son compliment. Et il n'avait rien trouvé de plus original? Décevant. Même venant de lui. Elle sourit cependant et décida de se prnedre au jeu de celui qui craquerait en premier. Avec une voix presque chantante d'élégance, elle le remercia en inclinant légèremnet la tête.
Votre élégance vous honore Milord.
Elle lui adressa un sourire parfaitement glacial que son mari dut ne pas remarquer ou tout simplement ignorer parce qu'il les invita à s'assoir avec entrain. Elle s'assit un peu à l'écart des deux autres et se perdit dans la contemplation du jardin en fleurs qui s'offraiot éà ses yeux. Pensive, rêveuse, ailleurs, une fois de plus, elle semblait irréelle. Elle se plaisiat à imaginer son image s'atténuer au fil des secondes et dispaaritre dans un hallot de lumière. C'était la meilleure image qu'on poiuvait donner d'elle. Un hallot de lumière et de grace teinté de zones d'ombres indéchiffrables, inateignables et mystérieuses. Elle évitait soigneusement de regarder Kael. Une fois de plu, elle avait été surprise par sa beauté et son charme et son teint avait rougi sans qu'elle le commande. Légèremnet mais c'était visible. Eh bien, ça le flattarit un peu.
Elle els entendait vaguement, au loin, s'entretenir sur leur économie et leurs projets respectifs mais elle n'y comprenait pas un traitre mot et our tout dire, cela l'ennuyait. Les finances. Encore une bonne raison de vouloir s'échapper de ce monde.
La servante vint leur apporter du thé et elle lui adressa un remerciement, un sourire vague et encore lointain fiché sur le visage. Elle put jeter un coup d'oeil à Kael. Il jouait parfaitement son ole. Un peu plus et on aurait presque cru qu'il était réèlement philanthrope. Elle n'était pas sur de rivaliser avec un tel talent
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| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges | | | 54 messages postés |
| Posté le 23-04-2007 à 19:58:47
| Il fut encore plus enchanté de constater qu'elle se prit également au jeu. Cependant, il ne lui accorda pas un regard de plus que cette légère entrevue lors du baise-main. Lui et le Seigneur Soares marchèrent longtemps dans le jardin et parlèrent de différents sujets : des finances, de certains hommes influents du pays et surtout, d'elle. Sans qu'il s'en rende compte, Monseigneur Soares répondait naturellement aux questions que Kael lui posait sur sa femme, sans pour autant paraître trop indiscret. Bien sûr, il n'avait jamais été question de le considérer comme un ami ! Jamais ! Le respect ? Non plus. Kael appréçiait simplement le fait qu'il l'aide à trouver de bons employers, de nouvelles actions et autres travaux...Ainsi, ils rejoignirent son épouse à l'heure du thé. Là encore, Kael n'observa pas la jeune femme et son attention se porta sur leur servante. Il sourit à celle-ci en lui demandant d'un ton léger et doux s'il pouvait faire l'impoli et avoir du whisky à la place. Elle rosit légèrement et répondit à son sourire en lui apportant de suite ce qu'il demandait. Là encore, il fit rire le Seigneur Soares et Kael s'en ravi d'avantage.
" Madame, permettez-moi de vous poser une question...disons peut-être déplaçée ? Pourquoi n'êtes-vous pas en compagnie des dames du pays pour le thé ? Leur présence serait plus argéable que celle de deux hommes plongés dans leurs affaires, ne le croyiez-vous pas ? "
Cette fois, il la regarda franchement. Ses yeux braqués dans les siens, expressifs, interrogateurs et malicieux. A part son regard, toute son expression restait impassiblement polie.
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| Posté le 24-04-2007 à 13:13:43
| Elle les entendit rentrere sans non plus leur prêter grande intention. Ce n'était pas le moment. Et puis, non obstant le fait qu'elle soit particulièrement enjouée à l'idée de jouer ce petit jeu stupide avec cet homme et certaine qu'elle allait le gagner, elle ne devait pas oublier à quel point il la répugnait. Son seul risque de perte était qu'elle se mette à l'admirer comme semblaient le faire tous les gens de son entourage, et non à le détester comme il fallait qu'elle le fasse. Un instant d'inatention était trop vite arrivé. Et de meurtrier sanguinaire et abjecte, il passerait immédiatement à l'état de prince, unique être capable de la délivrer de sa réclusion. Car il l'était sans doute. Elle ne s efaisait pas d'illusion. Seulement, elle préfèrait encore souffrir milles morts et se délivrer elle même que remettre sa vie entre les mains de ce monstre.
Elle observa la réaction de sa servante avec une pointe de mépris. C'était si facile pour lui... La pauvre. Peut être voulait il la tuer elle aussi? Et puis cette demande de whisky à une heure si matinale. Ilé n'y avait vraiment qu'un barbare pour oser faire ça.
Elle rougit cependant elle aussi quand il planta son regard dans le sien. La surprise. Et l'impression d'avoir mal joué. Elle aurait du fuirce regard. Ellle en profita pour détailler ce visage si sublime qui le caractèrisait, un visage d'ange entre les mains d'un tueur. Quel gachis. Elle ne cacha cependant pas son trouble. Son corps n'était pas son coeur et il était normal de rougir à un tel être. Jamais elle n'avait rencontré autant de charme dans un seul être. Elle était sure de ce qu'elle pensait de lui et le fait qu'il la perturbe ne changeait absolument rien. Et puis de cette manière, il pourrait croire qu'il avait gagné d'avance.
Elle sourit cependant, elle ausis parfaiteent impeccable, si ce n'était le regard assassin qu'elle lui lançait derrière ses paumettes rougissantes.
Permettez moi de vous donner une réponse tout aussi déplacée, mais c'est la compagnie de mon livre que je recherhe en ce lieu et non la votre. Sauf votre respect, vos affaires m'ennuient peut être tout autant que les conversations des dames de ce pays.
Elle profita de leur étonnement à touzt les deux pour évaluer son regard. Impitoyable c'était le mot. Un vrai prédateur prêt à sauter à la gorge de n'importe qui. Un serpent. Pa sau sens péjoratif du terme non... Un serpent froid, dicret, glissant et cruel. Voilà qui faisiat tout le charme de cet homme. Même derrière ses bonnes manières, il restait passablement glacial. Elle n'ajouta cependant rien et se contenta de lui dire tout par son regard, et par un sourire que seul lui pouvait voir. Lui dire à quel point il la sousestimait, et à quel point il allait perdre. Viens, je t'attends. Je vais t'humilier comme jamais tu n'as été humilié. Je serais la première à t'imposer une telle résistance et ça n'en sera que plus jouissif.
Quand elle eut finit son petit monologue occulaire, elle se leva, annonça qu'elle allait voir son cheval pour le nourrir et les planta là. Elle netendit son mari plaisanter à la fougue de sa femme et s'excuser pour elle.
Sans y prêter attention, elle alla chercher Jupiter et le reconduisit dans son box. Elle l'examina soigneusemnet, une pointe d'incompréhension grandissant tout à coup en elle. Elle fronça les sourcils et lui flatta l'encolure.
Eh bien, il t'a drolement gatté. Je n'aurais pas fait mieûx
Elle soupira et lui gratta les naseaux pendant qu'il appuyait affectusuement la tête contre son épaule.
Toi ausis il ets parvenu à te séduire hein? Ce que tu peux être vénal toi alors...
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| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges | | | 54 messages postés |
| Posté le 24-04-2007 à 18:43:15
| Il n'eut qu'un plus grand sourire accompagné d'une immense satisfaction lorsqu'elle lui répondit sur ce ton méprisable, incapable pour tout bon mortel à discerner. Mais Kael n'était, si l'on peut dire, pas vraiment un mortel comme les autres. Il rit donc à cette remarque après avoir ôté de son visage cette expression de surprise, parfaitement imitée d'ailleurs. Il n'insista pas lorsqu'elle les quitta et n'attarda pas son regard sur elle. Il sentait néanmoins un pincement au coeur - s'il en avait un - car il laissait partir un cru délicieux, un sang d'une rareté spéciale. Il continua donc de parler finances, économie et autres avec son époux, le Seigneur Soares et se leva trois quart d'heures plus tard. Il lui serra la main et refusa sa proposition à rester pour le déjeuner avec une certaine politesse. Son sourire de faux-semblants fut encore plus réussi qu'à l'ordinaire. Le Seigneur insista cependant pour qu'ils se retrouvent dans très peu de temps, qui sait pour un bal donné en l'honneur des vignes d'ici quelques jours ? Il espèrait retrouver Kael qui ne savait pas encore si sa présence serait désirée. Le Seigneur insista lourdement et le jeune homme accepta. Sur ce, ils se quittèrent et Kael regagna les box pour retrouver son cheval. Un étalon Mérens assez jeune, de robe noire bien sûr. Magnifique. Une bête en parfait accord avec l'être qu'était Kael. Il entra sans prêter attention aux autres box et appela doucement son cheval. Celui-ci vint et Kael plaça sa tête sur la sienne. Il poussa un soupire et murmura.
" Je ne m'y ferai jamais... "
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 24-04-2007 à 18:51:13
| Elle sursauta légèrement en entendant des bruits de pas derrière elle. Croyant trouver son mari, elle se retourna et constat avec une facination horirfiée qu'il s'agissiat de Kael. Dans ce lieu, ou se mêlaient la poussière et le soleil, ou chaque rayon de lumière était saturé de particules micrscopiques de crasse, il paraissiat presque irréel. Elle dut prendre quelques secondes avant de s erendre compte qu'il était l'homme qu'elle méprisait tant. Quand il ne parlait pas, quand il s etenait simplement debout au milieu d'une pièce, transiparnt sa suprêmeté et son arrogance, son magnifique étalon posé contre lui, il la fascinait. I la fascinait réèlement. Si il n'avait pas eut un caractère pareil.
Elle eut un sourire pensif et flatta encore un moment l'encolure de son cheval en murmurant des mots doux puis elle prononça d'une voix plus claire, tentant avec ferveur d'atténuer l'agrssivité qui assombrissiat le timbre de cette délaration.
Vous semblez avoir plus d'égard envers les animaux qu'envers vos congénères.
[g]Elle tourna la tête vers lui et lui adressa un sourire indéchiffrable avant de reporter son attenion sur son cheval [/g]
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| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges | | | 54 messages postés |
| Posté le 24-04-2007 à 19:06:23
| Il sourit sans se retourner pour la regarder. Il retira doucement sa tête et observa son cheval avec un sourire étrangement "vrai". Il répondit d'une façon plus simple, sans étant pompeuse ou agressive.
" Comme vous semblez avoir plus d'égards envers vos livres qu'envers votre époux. Mais cela ne me regarde en rien, me direz-vous. "
Cette fois-ci, il la regarda de ces mêmes yeux interrogateurs, méfiants, froids et pourtant...il semblait luir dans ses yeux une pointe de sincérité, de faiblesse même. Cela était certainement dû à la lumière. Il resta debout, à quelques mètres d'elle, sans jamais tenter d'avancer ou de dire quoi que ce soit. Il se contentait de la regarder, tellement insistant qu'il aurait pû lui brûler la peau rien qu'avec un regard.
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 24-04-2007 à 19:15:31
| Ce regard qu'il lui lança fit battre son coeur bien plus vite qu'il n'avait battu depuis des années. Elle le remercia intérieuremnet pour ça. Tout chez lui, son apparence, sa façon de marcher, ses gestes, le tombre de sa voix et par dessus tout, ces regards à la fois pénétrants et impénétrables faisaient battre tout son organisme. Il n'y avait guère que son caractère qui pouvait la freiner. Cet homme était tellement méprisable, arrogant et presque dégoutant qu'elle se sentait même incapable d'être aimable avec lui. Il était tout ce qu'elle détestait, et tout ce qui la fascinait. Un mélange étrange à ressentir. Une chose était sure, elle ne le laisserait pas gagner du terrain. Elle avait remarqué la légère faiblesse qu'il avait eue et avait été enchantée de la trouver si vite. Elle avait un our d'avance et le jeu s'arrêtait là. Elle n'avait vraiment pas envie de creuser plus en profondeur, un aperçut lui avait suffit. Cet homme ne l'apréciait que pour son odeur, probablement même l'odeur de son sang. Il en la respectai pas et il n'y avait pas de relation posisble sans respect. Si c'était la dominer ou la détruire qu'il voulait, ce qui était certain, il allait se casser les dents contre un mur, elle le jurait sur sa propre vie
Elle sourit tant à son regard qu'à s aremarque et haussa légèrement les épaules avant de murmurer elle aussi d'une voix totalement dénuée de faux semblants.
Vous vous trompe. Je n'ai jamais respecté personne autant que mon mari. Il ets juste et ferme. Et il a une foi en l'humanité qui me sidèrera toujours. Il ets un peu... Ma conscience. Cela va peut être paraitre étrange venant de moi mais bien qu'il m'oblige à rester dans un monde qui m'étouffe, je trouve cela rassurant de se lever auprès de lui chaque matin et me dire qu'il est là pour me condissioner. C'estz parfois bon d'avoir quelqu'un, même si c'est quelqu'un que l'on aime guère.
Elle alla chercher des granulés dans la remise et les versa dans la mangeoire de son cheval avnat de le rentrer dans son box pour ajouter d'une voix détachée.
Je vous remercie d'avoir pris soin de lui, J'y tiens réèlement. Autant vous dire que mon mari a voulut vouzs verser une pension pour lui faire prendre sa retraite dans un de vos patrurages et que pour le moment, jai refusé. Vous ne le méritez pas. C'ets une créature sage et expérimentée et il serait gaché entre les mains d'un enfant capricieux et manipulateurs. J'ajouterait poru racheter ces parole sbien désagréables que j'aurais pu réèlement vous aprécier si vous n'éprouviez pas le besoin perpétuel d'agresser tout ce qui vous entoure. Maintenant, je crois qu'il ets bon pour vous comme pour moi que nous ne nous revoyions plus.
Elle referma la porte du box avec plus de sècheresse et se dirrigea calemement vers la sortie
Message édité le 24-04-2007 à 19:24:38 par Carmen Soares
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| Posté le 24-04-2007 à 19:25:44
| Il écouta attentivement son discours sans jamais l'interrompre. S'il y avait bien une chose pour laquelle il était doué, c'était écouter. Invraisemblable ? Stupide même pour un être comme lui ! Et pourtant...combien de ses maîtresses s'étaient confiées à lui avant qu'il n'exauce leur souhait, celui d'être choisie pour être goûtée. Avant cette vie, avant ce temps, Kael avait appris les bonnes manières et gardait un talent exceptionnel pour jouer la comédie. Mais là, il ne s'agissait pas de comédie, simplement d'écouter. Jusqu'au bout. Avec quelques tics énervants mais jusqu'au bout. Il tira légèrement pour que son cheval sorte du box et dit en plaçant deux sacs de chaque côté de la selle.
" N'essayez jamais de savoir ce qui est bon pour moi, personne ne peut le savoir. En ce qui concerne le fait de nous revoir, ce n'est pas à moi de décider. "
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 25-04-2007 à 11:33:40
| Elle gouta cette petite réponse avec un plaisir sans nom. Elle s'était attendu à ce qu'il s'énerve, qu'il la tue ou même essaye de lui faire payer une telle impudence. Au lieu de ça, c'était presque si il ne se plaignait pas de sa situation. C'était trop facile, vraiment trop facile. Il était bien vrai que l'élégance d'une femme pouvait transformer n'importe quel loup en agneau. Enfin bon... Transformer ce loup là serait un véritable gachis. Pour un peu, elle regretta presque qu'il n'ait pas été plus agressif. Elle aficha cependnat un sourire trimphant et déclara d'une voix dont la satisfaction était à peine dissimulée.
Vous aboyez bien plus que vous ne mordez monsieur. Bon retour chez vous
Sur ce, elle le planta là. Ce deuxième round était courroné d'un brillant succès, bien plus qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Et cetet victoire lui permit de rentrer chez elle en se snetant presque flotter tant elle éait légère. Elle passa la journée la plus satisfaisante de sa vie.
hj: Bon ben je fais la suite dans la même catégorie!
Message édité le 25-04-2007 à 11:39:48 par Carmen Soares
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