Sombre PassiOn
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Carmen Soares
L\'Enfer est mon Paradis
Les Ailes Noires
Carmen Soares
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   Posté le 25-04-2007 à 12:06:41   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Ce carnaval de merveilleuses horreurs passées pendant quelques heures en compagnie de Kael changea, sans qu'elle ne s'en rende compte, fondamentalement la vie de Carmen.
Il l'obsèdait.
Au départ simplement par crainte. Elle l'avait provoqué plus qu'elle ne l'aurait du, et connaissnat sa facilité à détruire ses adversaires, elle vécut une période de perpétuelle anxièté. Ce n'était pas tant pour sa propre vie qu'elle craignait. Le fait qu'il veuille la tuer l'excitait plus qu'elle ne lui faisiat peur. Mais son entourage était mis en danger par sa faute elle le savait pertinemment. Son mari, sa servante, même les "amis" qu'elle fréquentaient au quotidien. Ca devint une véritable paranoia. Elle accompagnait son mari partout ou il sortait, et son ouiée surhumaine était en parmanence aux aguets. Il ne se passa cependant rien. Pas une nouvelle, pas une apparition. Et bien qu'elle essaya de toutes ses forces d'ignorer ce sentiment, elle en fut particulièrement déçue. Elle replongea dans un quotidien ennuyeux et parfaitement honnete, sans aucun vice ni aucun monstre à mépriser pour faire redémarrer son coeur.
Puis son mari lui annonça l'approche d'un bal en l'honneur des récoltes de l'an passé, ce qu'elle trouva parfaitement futile et barbare. Mais il lui indique la présnece de Kael et son coeur redémarra tout à coup. Il serait là... Enfin la vie allait pouvoir reprnedre un rythme anormal.
Pendant les quelques jours qui suivirent, elle fut bien forcée de reconnaitre que les sentiments qu'elle éprouvait pour lui dépassait le simple mépris. Elle repassiat sans cesse les quelques heures qu'ils avaient passés à s'affronter avec une mélancolie excessive, et s erendit bientot compte qu'elle se souveait d'absolument tout. Chaque détail, chauqe sourire, chaque regard, chaque resiration de cet homme était gravés en elle au fer blanc. C'était surement ce qu'on devait appeler le coup de foudre.
Elle en souffrit grandement. L'idée d'avoir rencontré la mauvaise personne au mauvais moment la déchirait. Elle ne pouvait pas l'aimer. Parce que si sa splandeur, ses regards si envoutant et sa voix si changenate la fascinaient, le reste la répugnaient totalement. Chaque parole qu'il prononçait était un venin écoeurant qui lui donnait envie de vomir chaque fois qu'elle l'entendait. Ce qu'elle aimait par dessus tout chez cet homme, c'était le changement qu'il apportait à sa vie. C'était la sensation nouvelle de liberté qu'ellle n'avait pas éprouvé depuis son mariage. Il lui redonnait un souffle, il lui insufflait la vie et elle savait dors et déjà qu'elle ne pouvait plus s'en passer. Et elle savait ou ça allait le mener. Elle allait passer sa vie à chercher ces courts instants de délice sans jamais cesser de les repousser. Il avait fait naitre en elle des sentiments tellement contradictoire, un feu si glacial qu'elle n'en sortirait pas indemne. A moins de partir.
Son mari fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Il avait passé toute la nuit dehors, avec Dieu sait quelle maitresse vulgaire et laide. Au petit matin, il avait tenté de la prnedre et elle s'était refusée à lui pour la première fois. Quand il s'e étonna, elle explosa. En apparence, elle lui cria qu'elle ne pouvait plus supporter ces aventures, que ça blessait sa fierté de femme et que c'était inadmissible. Intérieurement, elle lui hurlait qu'elle ne le supportait plus. Que sa perfection calme et étouffante, son attention pour elle, son amour et cette vie étaient entrain de la tuer. Elle se fichait éperdument de ses aventures. C'était lui qui la dérangeait. Elle éprouvait un tel respect pour lui qu'elle refusait de partir, ou même de le tromper dans els bras d'un autre ou sous la lame de Kael. Si il n'avait pas été là, elle se serait enfuie depuis longtemps. Et c'était la vraie rasion de son amertume.
Ce soir là, ils se rendirent au bal, lui splendide dansun costume noir parfaitement taillé et elle resplendissante dans une longue robe rouge trainante, au décolté arrondi, lissant ses formes à la perfection. Ils filaient l'amour parfait et ne s'adressiat plus la parole.



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Dans toutes nos différences, il n'est qu'une ressemblance. C'est cet amour flou, que j'ai pour vous. Vous êtes la tourmente, de mon ame violente. Je vous aime, je vous aime, je vous aime.
Kael Lozario
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   Posté le 25-04-2007 à 19:03:12   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Depuis l'épisode du box, Kael n'avait ni cherché, ni espèré la revoir, simplement parce qu'il savait qu'il la reverrait à un moment ou un autre. Certes, c'était une des créatures les plus fascinantes et expressives qu'il avait rencontré depuis un bon bout de temps mais...cette fois il hésitait beaucoup. Il ne savait pas s'il devait ou non continuer ces jeux, pour de multiples raisons : d'une part, l'époux de la jeune femme était très utile pour Kael, à tous points de vue. D'autre part, il avait horriblement peur d'être déçu. Il ne voyait pas comment cette femme pouvait ou devait tellement être différente. Bien sûr, il la savait enviée, désirée par beaucoup d'hommes mais de là à en être fou, cela relevait de l'impossible. Kael n'avait jamais éprouvé que du désir auprès des femmes et il ne comprenait pas pourquoi cela devait changer. En ces temps, il lui était difficile de trouver quelqu'un qui vaille la peine et son envie de sang commençait à lui brûler les lèvres. Durant les quelques jours qui s'écoulèrent, il eut visite du Seigneur Soares et se comporta comme d'habitude. Celui-ci l'appréçiait apparement beaucoup et c'était tant mieux. Il lui présenta d'autres hommes importants au cours d'une soirée qui bien entendu, fut extrêmement arrosée et entourée de jeunes femmes bien en chair. C'est à ce moment-là qu'il fut surpris de voir le Seigneur sous un autre jour. Il était pathétique, buvait à s'en faire renverser la moitié sur lui, riait aux éclats et se perdait dans le décolleté d'une putain. Kael ne comprenait pas ces agissements si différents de ce qu'il connaissait et surtout...

* Comment peut-il agir de la sorte en sachant pertinemment que sa femme l'attend dnas leur maison ?! C'est...abjecte *

Jamais Kael ne se serait permis de tromper une femme. Même s'il avait eu de nombreuses aventures, il ne brisait jamais le coeur d'une de ses concubines. Il les tuait parce qu'elles le voulaient, parce qu'elles désiraient qu'il les morde. Jamais il ne le faisait par pur plaisir. Il tuait, certes, mais seulement ceux qu'il haïssait et les femmes...jamais. Vint alors plus rapidemment qu'il ne l'aurait voulu le bal de la fin des récoltes. Il savait où, quand mais n'avait pas la moindre envie de s'y rendre. Cependant, il devait faire acte de présence. Il arriva donc en milieu de soirée sur son cheval, vêtu d'un costume pourpre et d'une chemise blanche. Toujours pour se démarquer du lot. Cela lui allait parfaitement et son teint clair ressortait encore plus. Il entra et n'eut pas le temps de respirer que déjà, le Seigneur Soares le héla. Kael sourit, ravi et s'avança vers lui en traversant la salle de son pas léger et élégant.


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   Posté le 25-04-2007 à 22:09:51   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle était déjà là epuis un bon moment et souriait aux mauvaises plaisenteries qui fusaient dans la conversation, repèrant les blagues sans même les écouter au ton de ses interlocuteurs, songeant uniquement à s'échapper de ce cauchemard. Elle l'entendit arriver bien avant de le voir. Au milieu de sa chevauchée, elle repèra le battement de son coeur, qu'elle reconnut immédiatement. Elle se laissa transporter par ce bruit si parfait et le regarda descendre de son cheval avec un sourire rêveur à peine dissimulé. Cependant, quand son mari l'appela, elle en profita pour le contourner et traversa la foule jusqu'à un banc ou elle s'assit dans un soupir de lassitude. Cette petite fête en plein air l'épuisait.
Elle ignora combien de temps elle resta assise, contemplant parfois Kael, imaginant les bonnes manières de profiter de lui sans subir sa présence. L'enfermer dans une vitrine sans doute, Une immense vitrine imaginaire ou elle s eplaisiat à l'observer, faisant des commentaires de conservateur de musée dans sa tête avec une voix graves. Ca l'amusa longuement. Elle commentait chaque geste, chaque expression du visage, sentant son coeur s eretourner et devant souvet fermer les yeux pour savourer cette sensation si inconnue.
Cela l'occupa jusqu'à ce que beaucoup de monde ait quitté la réception. Elle était restée seule plus de deux heures et s'en félicita. Elle était parvenue à échapper à la foule. Cette foule dont elle sentait chaque jour qu'elle se distinguait. Sans prétention, elle savait pertinemment qu'elle était au dessus de tout ça. Mais ça, personne ne pouvait le voir.
Son marifinit par s'assoir à coté d'elle, mimant la nonchalence avec un talent incroyable. Il s'excusa, et lui murmura d'une voix honteuse qu'il l'aimait, il l'aimait réèlemnet. Elle répliqua avec un sourire douloureux en regardant les autres qu'il ne l'aimait pas, que la seule chose qu'il aimait, c'était l'image qu'elle avait de lui et l'image qu'elle lui donnait de lui même. Il ne répondit pas. Puis il s'interrogea. Il svaait qu'elle savait. Depuis longtemps. Alors pourquoi maintenant? Y avait il un rapport avec Kael? Etait elle avec lui.
Elle ne put s'empêcher de rire.


La seule chose qui me relie à cet homme, c'est le mépris qu'il m'inspire, et l'indifférence qu'il me témoigne. Il ne représente... Rien.

Ce fut à son tour de rire amèement. Elle se serait cru dans un mauvais roman mélodramatique.

Tu peux te voiler la face autant de temps que tu le voudras, jamais tu ne m'as accordé le regard avec lequel tu l'as regardé toute la soirée.

Sur ce, il se leva et s'en alla. Ce fut à son tour de s'excuser dans un murmure fatigué. Voilà qu'elle s'excusiat de ne pas l'avoir trompé avec l'homme qu'elle haissait le plus au monde.
Elle soupia et se passa les mains sur le visage. C'était décidemment une mauvaise semaine. Ce genre de culpabilité était insupportable. D'ailleurs, elle ne le supporterait pas plus. Elle allait partir. Quitter cet endroit et tous ses habitants. Mais avant cela...
Elle chercha Kael du regard et le vit prêt d'un buffet, par miracle, seul. Prenant encore le temps de le regarder de loin pour laisser son coeur s'emballer, elle finit par trouver le courage de faire quelque chose. Quoi, elle ne savait pas mais quelque chose. Elle se leva et commença à avancer vers lui puis elle se ravisa. Elle prit une coupe de champagne sur un plateau qui passiat pour justifier son immobilité soudaine et s'éloigna de la réception en buvant d'une traite le champagne pour le jeter dans un buisson. Avisnat une rembarde, elle alla s'appuyer contre et observa un lac qui praissiat presque figé tant il était calme, souriant malgré elle de son idiotie. Elle était incapable d'aller parler à cet homme. Elle aussi, elle avait trop peur d'être déçue. Et puis, elle se sentait toujours tellement coupable vis à vis de son mari que c'était impensable.


Message édité le 25-04-2007 à 22:15:14 par Carmen Soares


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   Posté le 26-04-2007 à 18:46:29   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

De son côté, Kael s'était comporté comme toujours : aimable, charmant et même drôle. Il avait fait la connaissance de plusieurs personnalités de la ville, notamment l'adjoint au maire, le commissaire de police et deux ou trois préfets de ça et là. Tous paraissaient enchanté de le rencontrer "enfin".

* Je ne me savais pas si populaire ! ^^ Dommage qu'il n'y ait pas de femmes... *

Il était resté à leurs côtés deux heures durant et avait appris de multiples anecdotes toutes plus intéressantes les unes que les autres. Les passions de ces hommes : la chasse, l'alcool, le pouvoir...Rien que des êtres vaniteux et libertins, à peu de chose près comme lui. Mais ce peu de chose était tellement important qu'il n'en était rien. Kael enregistra des adresses, des noms, des loisirs, toutes sortes de choses utiles à son commerce. Il prétexta une crampe à l'estomac et se dirigea vers le buffet. Alors qu'il faisait semblant de chercher quelque chose à manger, il surprit un reflet dans la vitre face à lui. Elle. Qu'était-elle en train de faire ? Elle s'avançait...vers lui. Elle s'arrête. Etait-ce simplement pour une coupe ? Non. Il en était persuadé et cela le rendit interdit l'espace d'un instant. Il la vit s'éclipser et en profita pour se retourner, histoire de regarder les dernières personnes. Le Seigneur Soares n'était plus là. Cela ne lui fit ni chaud ni froid et il se rendit d'un pas léger auprès de l'épouse de son fidèle "ami". Il garda une distance soutenue et dit de cette voix qu'il savait si douce et suave.

" Bonsoir. Pardonnez-moi de vous importuner mais...je voulais vous faire part de ma désolation...Je n'ai pas pû refuser l'invitation de votre époux et je m'en excuse auprès de vous. J'espère que ma présence ne vous a pas causé tant d'ennui ? "


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   Posté le 26-04-2007 à 20:44:14   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle l'entendit s'approcher, reconnaissant encore une fois son rythme cardiaque. Elle n'aurait su dire pourquoi, mais ce coeur, elle le reconnaitrait entre milles. Il n'était pourtant pas différent des autres, mais tellement exceptionel. Elle le laissa parler, un frisson de plaisir recouvrant sa peau, un sourire ennivré au coin des lèvres. Si seulement il avait pu rester là et parle. Simplement parler. Prononcer tous les mots qui lui venaient par la tête et la laisser se saouler d'eux. Puis, quand elle en aurait marre, elle le ferait taire et le regarderait longuement, toute la vie, jusqu'à ce que ses yeux finisse aveuglés par la sombre lumière qui émanait de lui.
L'idée que tout ceci était irréalisable réfreina un peu son enthousiasme et elle resta longuement silencieuse, un peu déçue. Il n'était pas un Dieu, elle devait le comprnedre. Sinon, chaque fois qu'elle lui parlerait, elle serait déçue. Ils ne pouvaient pa ss'entendre tous les deux. Et elle ne parvenait pa sà oublier l'horreur et le mépris que sa personnalité lui inspirait.
Elle murmura cependant d'une voix douce et timbrée de malice, se sentant obligée d'être honnête.


C'est votre présence qui m'a empêchée de mourrir toute la soirée, ne vous excusez pas.

Elle n'expliqua pas cette phrase. Il serait certainement stupéfait d'un tel reviremen de situation mais elle ne comptait pas s'expliquer le moins du monde. C'était bien trop humiliant. Elle se tourna vers lui et s'appuya contre la barrière, plongeant un moment son regard dans l sien. Elle aurait voulut l'inviter à danser mais elle se ravisa. La seule idée de le toucher lui faisiat perdre la tête, et ellle ne s'en sentait pas la force. Déjà ce regard, elle avait du mal à le soutenir sans défaillir. Du rouge teinta ses joues l'espace de quelques secondes, et elle compta sur l'obscurité de la nuit pour masquer cet écart de conduite. Elle ne parvint pas à calmer son coeur devenu fou, mais sa tête était enfin redevenue claire et sa respiration calme. C'était ce qu'elle croyait. Elle douta de sa santé mentale après avoir prononcé une phrase sans même s'en rendre compte:

Emmenez moi. Ou vous voulez peu importe. Ailleurs. Loin. J'ai besoin d'air


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   Posté le 26-04-2007 à 21:06:31   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Après le nombre de remarques cinglantes qu'elle lui avait lançé lors de leur dernière rencontre, Kael fut surpris de voir à quelle point elle avait changé. Cette femme, c'était bien la même mais son attitude était différente. Trop différente peut-être pour qu'elle soit vraie. Il se méfiait déjà avant et maintenant peut-être un peu plus. Il la trouvait irrésistible mais l'intérêt qu'il lui portait n'était pas encore assez important pour qu'il la morde. Savait-elle ce que ce geste signifiait ? Savait-elle la sensation qu'elle allait éprouver au contact de ses lèvres ? Non. Bien sûr qu'elle ne le pouvait pas...mais d'ici peu, il espèrait pourvoir lui faire découvrir. Il ne cacha pas sa surprise et s'approcha légèrement d'elle, de deux ou trois pas. Ils devaient être à un mètre tout au plus l'un de l'autre et Kael remarqua ses joues roses. Il sourit. Non pas par mesquinerie, moquerie ou méchanceté...simplement parce qu'il en avait envie. Il la regarda un moment avant de répondre de cette même voix, plus riante.

" Je ne pense pas que cette démarche serait appréciée. N'entendez pas par là que je n'éprouve pas l'envie de vous enlever mais...je pense qu'il est trop tôt pour que vous changiez à mon égard. Vous ne m'appréciez guère. La seule chose que vous pouvez aimer chez moi, c'est ce que les autres aiment. Vous appréciez un être irréel qui n'est nullement moi et vous le savez, c'est cela qui vous chagrine n'est-ce pas ? "

A cet instant, il effleura du dos de sa main la joue de la jeune femme en plongeant son regard dans le sien. Un courant, une force gigantesque passa entre eux sans qu'ils s'en aperçoivent vraiment. Une fraction de secondes suffit pour qu'il l'hypnotise. Il retira sa main et ajouta dans un murmure.

" Cela ne durera pas, soyez-en certaine. Vous m'aurez oublié en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. "


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   Posté le 27-04-2007 à 19:52:31   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

hj: Bon ben finalement je réponds! XD

Elle snetit sa joue bruler au contact de la main de Kael, sentant dors et déjà qu'il y avait posé une marque au fer chauffé à blanc. Son coeur crut devenir fou mais elle parvint cetet fois ci à retenir le teint de ses joues. Elle frémit et ferma les yeux pour svaourer ce bref et intense bonheur avant d'avoir un mouvement de recul un peu effrayé.
Elle eut un sourire d'excuse confuse et leva les yeux vers les étoiles, un peu pensive, réfléchissnat à ce qu'il venait de dire.


Ca j'en doute... murmura t'elle d'une voix lointaine.

Elle poussa un soupir un peu las. C'était fatigant de ne pas svaoir si l'on devait aimer ou hair. Et cet homme... Il la rendait complètement folle. Elle eut un nouveua sourire, ne quittant pas le ciel des yeux.

Une fois de plus, vous vous trompez sur mon compte monsieur. Ce n'est pas votre charme que j'aime, bien que je le reconnaisse comme redoutable. Ce que j'aime ets bien réel. Réel, profond et intense...

Elle plongea ses yeux dans le sien, comme pour trouver l'inspiration, un sourire égaré étirant son visage, déjà loin, ailleurs, dans son monde, se laissnat emporter. Elle poursuivit d'une voix presque divine tant elle était posée, sure, douce et aérienne.

J'aime votre liberté. Cette explosion qui se dégagea de vous à chaque instant. Ce feu qui vous anime. Et votre coeur...

Elle ferma les yeux pour savourer ce battement.

Ilé ets si.. Particulier. Il ne bat pas, il vibre. Je ne nie pas hait votre hypocrisie maladive, votre mépris pour les personnalités qui vous entoure, votre indifférence pour ce qu'il y a à l'intérieur de chacun. De moi... Mais je vous suis infiimenet reconnaissnate. Parce que vous m'avaez fait rennaitre. Vous voir m'a fait me souvenir de ce que j'étais. et de ce que je suis devenue. J'étais libre, sans contraintes et passionée. C'est cette passion que je retrouve en vous. Votre façon d'être, d'hypnotiser le monde, de voler au dessus des autres, cette passion qui se déage de vous même auqnd vous êtes calme.
C'est ça que je voie. Pas votre distinction, pas votre charme, pas votre éducation. Vous. Pas celui que vous paraissez.


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   Posté le 27-04-2007 à 20:46:32   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il l'écouta attentivement. Plus elle en rajoutait sur son compte, plus ses doutes s'évanouïssaient. Il ne comprenait pas comme elle pouvait le voir de cette façon. Comme ces autres femmes qui ne trouvaient en lui qu'un ténébreux insaisissable...même s'il sentait qu'elle avait peu de choses en commun avec ses concubines précédentes. Il sourit et baissa le regard pour la première fois devant une femme. Kael se sentait mal à l'aise et il savait que ce n'était pas bon signe. Personne ne pouvait ni ne devait le rendre faible. Cela, c'était interdit. Une règle imposée par lui. Personne...au-dessus de lui, jamais. Mais ce terme existe-t-il vraiment lorsqu'on est passionné ? Que représente l'éternité pour un être ailé ? Une plus me peut-être...même pas la moitié d'une vie. Il sourit et répondit sans la regarder de cette même voix suave.

" Comment pouvez-vous me décrire ainsi ? J'ai l'impression d'être un autre à travers vos yeux, c'est très étrange et même...effrayant je dirais ! ^^ Certes, je suis passionné et libre mais vous ne savez rien des contraintes qui m'accaparent et dont je ne peux me passer. Même si je peux m'envoler et oublier cette vie durant une période, il y a toujours une chaîne à ma cheville qui m'empêche de voler plus haut. "

Il s'approcha de la rembarde et regarda le parc. Splendide, naturel et sauvage. Il songea à ce qu'elle venait de dire sur lui et son sourire s'élargit légèrement. Il continua en murmurant.

" Pensez-vous réellement tout ce que vous venez de dire à mon sujet ? Si la réponse est oui, je crains que je ne pourrais éviter de vous rencontrer. "

Il tourna la tête pour la regarder, désireux de savoir exactement ce qu'elle voulait, ce qu'elle aimerait. Jamais regard ne fut plus passionné que celui qu'il lui lança en cet instant.


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   Posté le 27-04-2007 à 22:41:12   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle baissa elle aussi les yeux devant ce regard et fixa longuement ses mains croisés sur la barrière, tentant de comprendre exactement ce qu'elle ressentait. C'était un véritable flou artistique. Ce genre de regards, cette ambiance à la fois si tendue et si douce... Ca la rendait dingue. Dingue d'amour et de colère. Elle lui en voulait de lui faire ressentir tout ça. Et elle s'en voulait de ne pas parvenir à relativiser les choses. Tout lui apparaissait tellement compliqué, tellement intense, délicieusement et cruellement douloureux. Face à ce regard, elle ne comprenait plus rien. Mais par dessus tout, elle doutait. Dans ce genre de situations, seules deux échappatoires étaient possibles. Aucune des deux n'était bonne, et il était difficile de svaoir laquelle était la meilleure. Soit elle s'adonnait avec lui à une passion jamais égalée, le temps d'une nuit, peut être un peu plus si elle avait de la chance, et finissait par partir sans laisser de traces; soit elle le repoussiat et partait immédiatmenet. Dna stous les cas, elle regretterait. Soit de ne pas avoir fait ce qu'elle avait à faire, soit de n'avoir rien fait pour le conserver. Das tous les cas, elle serait malheureuse. Mais ce n'était pas à elle de décider. Elle n'avait pas décidé ces sentiments au combien joussifs et au combien douloureux. Elle en pouvait uqe repousser l'échéance.
Son sourire faiblit légèrmenet et elle murmura d'une voix plus hésitante.


Alors peut être vaudrait il mieux que je vous persuade que j'ai tout inventé.

Ellereleva les yeux vers le parc et tourna la tête vers lui, ayant réussir à repeindre son visage d'un sourire plus convaicant. Elle était une véritable championne pour ça. Un sourire triste? Aucun problème. Eclat de rire? Je vous le sert. Un marchande de sourire.

J'ai recherché l'une ou l'autre de vos compagnes vous savez. J'ai fini par en trouver une et j'ai été surprise qu'un homme qui m'ait posé le couteau sous la gorge déclanche tant d'enthousiasme chez l'une de ses conquêtes d'un soir. Elle m'a dit "Quand cet homme t'aime, plus rien en compte. Quand il t'aime, tu es une muse entre les mains d'un artiste."

Elle eut un sourire franchement amusé cette fois et reprit dans un murmure.

J'ai trouvé ça un peu lyrique mais bon... Elle m'a parlé de la fameuse morsure. Un peu moins lyrique. Le plus drole, c'est que... La prmeière chose que je me suis dite, ce n'était pas que ça m'horripilait, c'était tout simplement que je ne voulais pas... Vous goutez le sang de toutes les femmes, mais imaginez que le miens soit ordinaire. J'ai beaucoup de défauts mais je me reconnais au moins le mérite d'être tout sauf ordinaire. Alors si ce sang... Etait en deça de vos espèrances et des miennes, ce serait une catastrophe.
Et cette fois ci, c'est l'idée de tellement prnedre à coeur votre jugement qui m'a horrifiée.


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   Posté le 28-04-2007 à 09:59:54   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il n'avait pas quitté ses yeux, son visage, détaillant ses traits afin qu'ils laissent une marque encore fraîche dans sa mémoire. Une nouvelle fois, il l'écouta attentivement sans émettre un seule soupire, un seule haussement de sourcil. Ni surprise, ni colère, ni amour, rien de tous ces sentiments ne pouvaient se voir au travers de son visage. Il inspirait doucement et lorsqu'elle eut fini, il ferma les yeux et huma quelques secondes le parfum qui se dégageait d'elle. Le goût de son sang. Il sourit et répondit.

" Vous avez raison, dans le sens où j'ai goûté à plus d'une femme dans ma vie mais aucune d'elle n'a pû me décevoir. Elles sont toutes uniques, différentes et le parfum qu'elles dégagent est lui aussi différent. Sachez que le vôtre est un délice dont je ne peux que rêver...Le fait que vous possédiez des ailes ne peut être que bénéfique, croyez-moi. "

Il s'approcha d'elle et recula ses cheveux en arrière pour dégager son cou. Il avança doucement vers celui-ci et souffla en l'effleura.

" Si vous connaissez cette histoire de morsure, vous saurez qu'aucun plaisir n'est plus jouïssif que de se faire mordre... "

Il déposa simplement un baiser au creu de sa nuque et se releva lentement. Il s'arrêta lorsqu'il se trouva près de son oreille et murmura.

" Quoi que vous décidiez, je respecterais votre décision. Vous savez où me trouver... "

Un dernier regard, un dernier sourire et il reparti pour prendre ses affaires. Il quitta la fête et monta sur son cheval qu'il gratiffia d'une tendre caresse. Il galopa vite et se retrouva chez lui en peu de temps. Une des plus belles demeures de la région. Il mit son cheval dans son box et le nourrit avant de rentrer chez lui et de se boire un verre de bourbon. Il regardait pensif son immense parc.


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   Posté le 28-04-2007 à 10:32:45   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle se figea lorsqu'il écarta sa chevelure, son coeur battant la chamade, n'osant plus bouger un muscle. Elle cessa même de respirer. Son souffle provoqua chez elle un tournis ennivrant et violent. Elle ferma les yeux et ouvrit la bouche pour émettre une protestation mais les mots se perdirent avant de parvenir à ses lèvres. Incapable de respirer, de bouger ou même de parler, elle savoura cette caresse avec un plaisir et une douleur infinie. Une fois de plus, tous les sentiments humains possible et imaginables se mêlèrent el elle, formant un tourbillon infernal. Colère, peur, confusion, amour. Elle passa de l'un à l'autre en l'espace de quelques secondes, sans pouvoir rien faire pour l'en empêcher. Elle lutta, s'abandonna au désir, puis finit par relacher complètement ses muscles, qui commençait déjà à trembler tant ils étaient tendus. Elle se surprit à prier lorsque ses lèvres effleurèrent son coup pour qu'il morde mais ne dit rien.
Et lorsqu'il s'écarta, elle crut mourrir de douleur. Elle l'entendit s'éloigner sans pouvoir rien dire, tellement brouillée qu'elle ne réalisait pas encore. Elle se retourna en entendant ce merveilleux coeur s'éloigner à grande vitesse et sentit des larmes lui bruler les yeux. L'ennivrer, la passioner ainsi puis la laisser... C'était la pire chose qu'il pouvait faire. Parce que maintenant qu'il était parti, elle atterrit dans le monde réel avec une telle violence que ça lui coupa le souffle. La réalité la rattrappa et lui envoya une giffle en pleine figure. Son mari, son départ imminent, cet homme... Tout était contradictoire. Chacune de ces données empêchait l'autre. Elle ne pouvait pas. Elle ne devait pas...
Elle essuya les larmes qui coulaient sur ses joues d'un geste rageur, sentant sa nuque bruler de désir et hurler de douleur. Tout en elle criait. Son corps criait de désir, sa tête criait de raison et son oeur criait de douleur.
Elle vacilla et s'appuya contre la rembarde pour ne pas tomber, sentant déjà qu'une chose aussi violente ne pouvait pas la laissre indemne.
Sans même s'en rendre compte, elle s'effondra et perdit connaissance. Sa chute provoqua une gigantesque panique chez le peu de gens qui étaient restés et on se précipita vers elle. on appela un médecin, qui la ramnea chez elle et diagnostiqua une forte fièvre. Son mari ne comprit pas, bien sur.
Au petit matin, elle ouvrit les yeux, le corps encore brulant de la passion qu'elle n'avait pas vécu. Toute sa soirée lui revint en tête. Tout, jusqu'à sa chute. Son coeur se remit à crier, réveillant ainsi sa tête et son corps qui crièrent à leur tour.
Elle se redressa lentement dans son lit et se passa les mains sur le visage. Son mari dormait sur un fauteuil à coté d'elle. Elle soupira de lassitude en imaginant la suite des évennements. Les visites, l'inquiètude, les condoléances des amis de la famille, els questions, lui... Viendrait il? Elle l'espèrait. Et elle le craignait. Elle était morte d'inquiètude. Il comprendrait ce qui lui était arrivé. Et il ne comprenderait pa spourquoi. Et son mari... Qu'allait elle lui dire?
Quand il se réveilla, elle prétexta une trop forte dose d'alcool. Il rit. Nerveusement. Lui non plus ne svaait que faire. Et déjà, on sonnait à la porte. Déjà, une foule de gens très propres sur eux s'aglutinèrent près de sn lit, lui offrant mille et une fleurs, s'inquiètant de sa santé. Elle répondait par des sourires un peu faibles, des réponses faibles et des sentiments trop forts...



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   Posté le 28-04-2007 à 11:02:26   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il l'avait attendu en sirotant tranquillement son bourbon...jusqu'à la dernière goutte. Il fut déçu et éclata d'un rire nerveux et horriblement froid avant de s'affaler dans son canapé et de quitter cette terre pour se retrouver dans les bras de Morphée. Il se réveilla en sursaut lorsqu'on vint frapper à sa porte. Quelle heure était-il ? Il n'en avait aucune idée. Il se leva en râlant et ouvrit la porte. Il fut surpris de trouver un jeune homme d'une douzaine d'années, apparement pétrifié à l'idée de déranger le Seigneur Lozario. Kael se calma et lui demanda poliement ce qu'il désirait. Le jeune garçon bégailla et lui présenta un sac de farine. Il lui rappela que le SEigneur lui avait promis d'en prendre pour aider ses parents alors en difficulté financière. Kael le fit entrer et revint avec une liasse de billet.Il lui en donna deux : un pour le sac, l'autre pour le jeune homme. Celui-ci rougit et Kael lui sourit, ce qui le perturba encore plus. Même à moitié dnas le cirage, il ne pouvait qu'être irrésistible. Le jeune homme parla alors de ce qui se passait au village et le Seigneur ne semblant pas au courant, il lui raconta. Dame Soares avait fait un malaise lors de la fête et cela avait l'air grave. Kael fit semblant de rien et le remercia pour cette information. A peine était-il parti qu'il se changea et partit pour retrouver la demeure Soares. Il se doutait qu'il y aurait du monde et étant donné la relation entre lui et le Seigneur Soares, sa présence ne serait pas déplaçée. Il arriva donc, un bouquet d'oeillet en main et trouva rapidemment le Seigneur. Kael peint parfaitement la désolation sur son visage et exprima son inquiétude pour l'épouse de son "ami". Le Seigneur l'en remercia et lui dit que tout alait bien, qu'elle avait besoin de repos et qu'elle domais dans une chambre au rez-de-chaussé. Kael accepta volontiers un verre de whisky - comme s'il n'avait pas assez bû - et repartit au bout d'une demi-heure...enfin, c'est ce qu'il voulut faire croire. Il cacha son cheval et se rendit à pied près de la maison Soares. Il arriva facilement à passer inaprçu et entra dans la chambre où elle dormait par la fenêtre. Sans faire de bruit, il la trouva allongée, les paupières closes, la respiration légère, comme flottante. Il sourit et s'installa doucement à son chevet. Il prit sa main et sentit qu'elle allait le reconnaître. Elle ouvirt les yeux et il mit sa mains sur ses lèvres. Il murmura.

" Je voulais m'assurer de votre état par moi-même. Je suis ravi de constater que vous allez mieux. Je ne peux pas rester, votre mari est en train de renvoyer la plupart de vos amis chez eux. "

Il retira doucement sa main des lèvres de la jeune femme et sourit encore une fois. Il la regardait tel un ange protégeant l'élu.

" Je ne pensais pas qu'un baiser vous ferait tant d'émoi. Je m'excuse de vous l'avoir donné sans réfléchir. "


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   Posté le 28-04-2007 à 11:29:14   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle entendit ce coeur si particulier avant même qu'il n'ait franchi le seuil d la maison. Elle était entrain de lire à ce moment là. Elle se mit à paniquer comme une adolescente qui devait recevoir son prince charmant et alla se mettre sous les couvertures. Comem elle ne savait pas quoi lui dire, autant faire semblant de dormir un peu. Elle tendit l'oreille, scrutant le moindre bruit jusqu'à l'entendre se faufiler dans sa chambre. Son coeur fit une embardée, mais elle se griffa sous les couettes pour ne pas laissre paraitre cet émoi. Elle ouvrit les yeux quand il lui prit la main, simulant le réveil, incapable de résister à l'envie de le voir. Elle avait la sensation qu'elle allait mourrir si elle ne le voyait pas dans la seconde qui suivait.
Elle fut un peu stupéfaite de le voir poser sa main contre sa bouche, et tellement troubée qu'une fois de plus, elle cessa totalement de respirer. Elle l'écouta lui dire qu'il ne pouvait pas rester avec une mélange de soulagement et de terreur. Maintennat qu'il était là, il ne comptait pas encore partir tout de même.
Elle le laissa retirer sa main sans un mot et laissa son esprit se perdre dans son regard, un sourire un peu perdu sur les lèvres.


Vous pouvez... J'ai été obligée d'inventer une cuite pour excuser cet état. Etat que je n comprend moi même pas beaucoup.

Elle soupira et s eredressa doucement. Puis, avisant son visage dans la glace, elle ejut une moue réprobatrice. Elle avait une mine affreuse. Blaffarde. décoiffée et fatiguée. Elle rougit légèrement et baissa les yeux.

J'aurais aimé que vous ne me voyiez pas ainsi.

Elle passa sa main dans ses cheveux, tentant faiblement d'ignorer les hurlements de rage et de douleur de son coeur avant de reprnedre d'une voix dont le tremblement atténuait le calme qu'elle voulait faire paraitre.

Vous... Pourquoi être parti comme ça? Qu'espériez vous? Que je vous rattraperais? J'ai un mari... Un devoir. Quand vous êtes là, je l'oublie aisemment, mais hier... Quand vous êtes partis, j'ai cru mourrir de honte. Me laisser ainsi seule avec ce dilemme était d'une cruauté sans nom.

Message édité le 28-04-2007 à 11:42:13 par Carmen Soares


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   Posté le 28-04-2007 à 15:27:59   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il sourit de plus belle lorsqu'elle lui avoua qu'elle avait dû mentir pour eux, en quelque sorte. Il fut ravi de constater qu'elle n'avait pas perdu sa force de caractère et que même faible, elle était capable de le remettre à sa place. Il lui releva le menton à l'aide de l'index et dit en la regardant dans les yeux, ce même sourire peint sur ses lèvres.

" Cela fait partie de ma personne, vous comprendrez que je dois entretenir mon mystère. ^^ Il est vrai que mon comportement n'était pas le bienvenu, je le reconnais...mais de toute façon, nous ne saurons jamais ce que vous auriez fait et je dois dire que je préfère cela. Je préfère me bercer d'illusions plutôt que de croire que vous êtes une femme irréprochable. "

Il retira sa main sans quitter ses yeux et ajouta.

" Il y a une maison de campagne, à trois quart d'heure d'ici. J'ai suggéré à votre époux de vous y conduire pour que vous puissiez y être seule, histoire de vous reposer. Il vous y accompagnera et vous y laissera. Je vous rejoindrais une fois la nuit tombée, prétextant une fatigue. Ainsi, nous pourrons parler et vous pourrez vous évader quelques temps hors de ces murs. "


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   Posté le 28-04-2007 à 17:08:34   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle le laissa lui relever le visage, non sans une certaine réticence, et plongea dans ses yeux un regard réprobaeur. Elle l'écouta prononcer ce beau discours avec une pointe d'amusement contrarié et ne dit mot. Il aurait pu s'excuser. Au moins s'excuser. Mais boon, quand on s'appelle Kael Lozario, on ne s'excuse pas n'est ce pas? Pas sincèrement en tout cas...
Quand il lui parla de la maison de campagne, elle haussa un sourcil stupéfait. Depuis quand renait on des dispositions la concernant à s aplace? Pour qui se prenait il?
Elle n'accepterait pas. Elle resterait enfermée dans sa chambre et refuserait d'aller dans cette fichue maison. C'était courrir à s aperte. Elle fronça les sourcils et détourna la tête, avant d'anoncer d'un ton sec et autoritaire.


Bonne journée Seigneur Lozario.

Elle ne sut pas si il tenta e répliquer puisque les pas de son mari se firent entendre. Il fut forcé de partir. Elle poussa un soupir de soulagement empli de douleur et regarda son mari entrer dans la chambre avec un nouveau sourire tout beau tout neuf, jouant la nonchalence avec talent. Son mari s'étonna que la fenetre fut ouverte. Elle avait chaud. Ah, il comprenait mieux.
Il s'assit au bord du lit et lui parla de éa fameuse maison de campagne. A sa grande surprise, son sourire s'étira et elle s'exclama que c'était une idée merveilleuse. Il parut soulagé et l'aida à s echanger avant de la faire monter dans leur calèche.
Une fois en route, elle se donna des giffles intérieures de s'être laissée emporter ainsi. Mais qu'est ce qu'il lui avait pris bon Dieu? C'était épuisnat de ne jamais faire ce qu'on voudrait faire. Quand la passion l'emporte sur la raison.
Ils arrivèrent à destination et son mari lui laissa un cheval. Elle l'en remercia et lee laissa repartir, après milles effusion de culpabilité et de tendresse. Elle en vint à la conclusion qu'ils ne s'amaient pas, et que la seule question à s eposer était de savoir si ça vallait le coup de sauver encore les apparences. Il alla donc rejoindre sa putain tandis qu'elle s'engagea elle même vers sa perte.
Ellle prit le cheval avant mêe de rentrer dans la maison et malgré s afaibless,e elle le cheveaucha tooute la journée durant. Elle alla manger à midi dans une auberge, vola une ou deux heures avant de remonter sur son animal et de repartir. Le soleil était déjà bas quand elle regagnit s amaison Une fois descendue, elle se snetait beaucoup plus fraiche. Plus vivante te plus libre. Elle se sentait également horriblement paniquée à l'idée de passer des heures entières seules avec son bourreau mais elle préfèra ne pas y penser. Elle se lava longuement et enfila une toilette qu'elle avait emmenée pour le lendemain. Jolie sans être horirblement provocante. Comme d'habitude. Puis elle prépara une sallade basique, elle n'avait vraiment pas envie de faire dans l'élaboré ce soir là, et finit par s'affaler sur un divan, faisnat tourner une quantité assez notable de whisky dans son verre, snetant son coeur battre plus vite au fur et à mesure que els secondes passaient. Elle angoissait. Elle ne voyait vraiment pas comment se sortir de la situation dans laquelle elle s'était volontairement jetée. Qui plsu est, elle ne savait toujours pas si elle devait être impatiente ou au contraire, redouter l'échéance


Message édité le 28-04-2007 à 17:10:41 par Carmen Soares


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   Posté le 28-04-2007 à 18:07:17   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Lorsqu'il remarqua que la jeune femme n'était guère enthousiaste à l'idée qu'il décide pour elle, Kael fut surpris mais pas forcément dans le bon sens. Il ne désirait pas son bonheur mais tentait plutôt de lui faire voir un avant-goût de ce qu'elle pourrait vivre loin de ce beau monde. Il quitta à contre-coeur la pièce et repartit chez lui. Il ouvrit violemment les portes de son domaine et hurla seul, haut et fort.

" Quel toupet !!! Quand je pense qu'elle me trouve détestable...! "

Il fut certes quelque peu contrarié mais oublia bien vite ce contre-temps. Il passa le journée en compagnie de plusieurs hommes d'affaires et ils discutèrent de nombreuses choses toutes plus ennuyantes les unes que les autres : économie, terres, gouvernement...Kael n'en voyait pas le bout et se dit qu'un verre de broubon serait bien mérité. C'est alors que le Seigneur Soares le remercia pour la maison de campagne qui plut à sa femme. Il ne saisit pas de suite et lui demanda de répéter. Celui-ci s'exécuta et Kael fut impassiblement ravi de l'apprendre. Elle avait donc accepté...
Il prétexta, une demi-heure plus tard, un mal de crâne et rentra chez lui. Il se changea, prit une bouteille de bourbon et sortit ses ailes pour se rendre dans la maison. Il arriva une demi-heure après avoir quitté son domaine et remonta légèrement son col avant de frapper à la porte.



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   Posté le 30-04-2007 à 17:59:24   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

L'attente avait été insupportable. Allait il venir? Allait il mal prendre sa conduite et refuser ce tête à tête? Devrait elle en être soulagée? Triste? Elle tournait et retournait ce squetsions dans s atête et elle avait beau examiner la situation sous tous les angle,s elle ne voyait pas d'issue. Soit elle renonçait à son amour, soit elle renonçait à ses rêves. Les deux n'allaient pas ensemble. Et plus elle y songeait, plus elle souhaitait se faire aspirer par un toru noir...
Puis elle entendit frapper à la porte. La stupeur l'obligea à se lever, puis elle se rassit. Elle ne pouvait pas. Elle ne pouvait pas ouvrir. Et elle ne pouvait pas ne pas ouvrir...
Elle se releva, posa son verre de whisky, s'approcha de la porte, et resta longuement, la main sur la poignée, svaourant les battement du coeur de Kael à l'extérieur avec un désir grandissant et une douleur s'amplifiant à chaque minute. Quoique demain lui réserve, elle ne pouvait pas laissre passer ça. Elle le regretterait à jamais.
Elle inspira profondemment, ouvrit la porte et luzui adress aun sourire malicieux, ne laissant rien paraitre de son dilemme cartésien.


Vous venez d'interrompre un rendez vous avec un verre de whisky


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   Posté le 30-04-2007 à 18:26:51   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il fut ravi de constater que la boisson était pour le moment le seul reproche qu'elle lui faisait. Il l'en remercia d'ailleurs et oublia même de lui parler de sa conduite désagréable du matin. Il entra dans la demeure et elle referma la porte derrière eux. Il ôta sa veste, dévoila une chemise superbement taillée et tendit à la jeune femme la bouteille de bourbon.

" J'ai pensé que cela adoucirait peut-être un peu plus ce rendez-vous, si nous supposons que c'en est un. ^^ "

Il se dirigea vers la petite cuisine et sortit deux verres amples ainsi qu'un tire-bouchon avant de revenir dans le salon. Il sourit en constatant le regard de la jeune femme, assez interdite.

" Je n'ai pas suggéré cette maison à votre époux sur un coup de tête. Elle appartenait à ma famille...avant. "


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   Posté le 01-05-2007 à 16:05:21   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Quand il enleva sa veste, elle dut remercier une fois de plus ses incroyables talents de comédiène qui lui permirent de cacher son trouble. Oh Seigneur... Elle ignorait jusque là si elle croyait au Seigneur, masi elle fut bien obligé d'y croire sur le moment. Seul un Dieu avait pu mettre au monde une créature aussi divinement parfaite.
Elle prit la bouteille qu'il lui tendait avce un haussmenet de sourcil étonné, étonnement qui s'ampliia quand il alla chercher des verres. Et quand il lui expliqua la raison de ces fam,iliarités, elle murmura un "oh" un peu confus. Qu'aurait elle put dire de plus. Avant quoi? Ou ets votre famille maintenant? Pourquoi ne pas l'avoir gardé cette maison? Non elle ne préfèrait pas... Elle était persuadé que ce sujet là était le seul qui pouvait faire srtir Kael de ses gonds. Et à la seule pensée qu'il s'énerve, elle dut réprimer un frisson de terreur. Elle posa la bouteille à coté des verres et s'assit sur le canapé pour le laisser les remplir. Elle le remercia quand il lui tendit le sien et en but une gorge. Elle manqau de s'étouffer. Jamais elle n'avait bu d'akcool aussi fort. Elle toussa et reposa le verre avant de murmurer d'une voix un peu blanche.


Je commence à comprendre pourquoi vous buvez du whisky comme du petit lait à 8 heures du matin.


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   Posté le 02-05-2007 à 18:35:20   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Le jeune homme éclata d'un rire grave, serein et extrêmement sincère. Mais pas trop...Il but également une longue gorgée de ce breuvage si précieux et ferma les yeux pour mieux le déguster. Il dit sans les rouvrir.

" Il me semble corcé, brûlant, passionné...comme vous. "

Il rouvrit les yeux et croisa le regard de la jeune femme. Il souriait, ravi d'être ici. Jamais il n'aurait songé qu'il soit si facile de la troubler. Certes, elle tentait tant bien que mal de cacher ses ardeurs mais il savait pertinemment quel effet il faisait aux femmes. Bien sûr, il savait comment et quand en profiter mais il espèrait qu'elle rejoigne son jeu et tente de le séduire. Pour l'instant, il se comportait comme d'habitude, comme il était lui et non cet autre, grand ami de l'époux cette femme, celle qu'il voulait courtiser.

" Je vous prie de m'excuser. Je n'ai pas tant l'habitude de ne pas complimenter une femme...surtout lorsqu'elle excelle dans l'art de me rendre jaloux. "

Il n'ajouta pas un mot, ses yeux désormais plongés dans son verre de bourbon. Il croyait jouer encore, comme il le faisait à chaque conquête et espèrait sincèrement qu'il ne s'agisse que d'un jeu...Mais cela n'avait rien à voir. Il sentait qu'une partie de ce qu'il confiait était vraie, mais laquelle ?


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   Posté le 05-05-2007 à 16:23:03   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle écouta ses belle sphrases avec un sourire à la fois amusé et légèrement contrarié. Ce genr ede phrases éatient tellement classiques, et dans sa boucha paraissaient si superbes. Il afllait qu'elle s eresaisisse. Il aallait finir par nela prnedre plus du tout au sérieux.
Elle sentit qu'il hésitait sur sa dernière phrase et décida d'en profiter un tantinet. D'accord chéri, tu veux jouer, on va jouer...
Elle reprit son verre, en but une gorgée et bien qu'lelle trouve ça toujours honteusemnet fort, elle ne cilla pas et affronta son regard, un sourire léger et invisible planté sur le slèvres.


Jaloux? Je peine à vous croire seigneur Lozario... Mais si c'était vraiment le cas, vous auriez parfaitemnet raison. Parce que si aucun homme ne m'a jamais possèdée entièrement, il ets une chose à laquelle je ne ferais aucune infidélité. Et c'est ma libverté. Vous commencez tout juste à le comprendre.

Elle but un enouvelle gorgée de ce beruvage,. commençant à le trouver de plus en plus délicieux. Corcé, brulant, pasisoné... Ce scompliement avaient fait l'effet d'une bombe en elle. Encore une fois, heureusemnet qu'elle était bonne comédienne. Elle ajouta en le regardant de nouveau, empruntant le miel avec lequel il parlait parfois. Suave, calme et envoutant...

Je vous imagine comme un grand vin. Délicieux lorsqu'il ets savouré à bonne température. Changeant, murissant, explosant parfois, se refroidissant dans son délice d'autres fois. Jamais deux jours le même, mais toujours ce même délice


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   Posté le 06-05-2007 à 19:43:33   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il apprécia divinement cette répartie. Il n'en espèrait pas moins d'elle. Cette femme était de plus en plus dangereuse pour Kael et il le savait parfaitement. Il adorait ça...jouer avec le feu, cer elle était belle et bien plus brûlante qu'une flamme. Néanmoins...il n'était pas prêt de se consummer si rapidemment. Elle jouait finement et avec un tel naturel qu'il aurait cru qu'elle l'avait fait toute sa vie. Et il n'avait pas tout à fait tort. Lorsqu'elle montrait au monde une image d'elle, de cette femme particulièrement heureuse, délicieuse et amoureuse...ne jouait-elle pas la comédie également ? Il n'allait pas le lui demander, sous peine d'être jeté dehors de sa propre maison ! ^^ Il termina son verre en un rien de temps sans quitter ces magnifiques étoiles qu'on appelle plus comunément iris. Il sourit à sa remarque le concernant et décida de répondre de la même manière.

" Vous êtes trop aimable et je ne saurais croire à ce portrait. C'est la seconde fois déjà que vous me flattez à bien des égards. Je ne mérite pourtant pas tant d'attention de votre part. Vous qui êtes tellement plus délicieuse que moi... "

Il se leva et lui tourna le dos, tentant de reprendre ses esprits. Jouait-il réellement la comédie cette fois ? Cela sonnait tellement trop vrai...! Il reprit ce sourire et la regarda, décidant de jouer à un autre jeu.

" Il m'a semblé comprendre que vous ne trahissez jamais votre liberté n'est-ce pas ? Alors...pouvez-vous m'expliquer pourquoi je sens que vous n'êtes pas sûr en m'annonçant cela ? Je ne veux en aucun cas vous manquer de respect mais je suis certain que vous n'êtes pas totalement libre. "

Il se resservit du vin et ajouta.

" C'est pour cela que je vous intéresse. Parce que je suis l'incarnation même de ce que vous recherchez : la liberté totale, l'absence de toute contrainte, la vie. "


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   Posté le 08-05-2007 à 18:27:19   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

Elle snetit son coeur se serrer honteusement. Oui, c'était vrai. Elle le lui avait même avouier. Mais aimer un homme pouzr les sensations qu'il nous procure, elle trouvait ça passablement égoiste. Enfin, elle n'allait pas se mentir, elle était égoiste. Elle parvint à sourire néammois et regarda le liquide tournoyer dans son verre avant de murmurer d'une voix pensive.

C'ets vrai. Je vous l'ai dit je ne peux plus le nier. Ce qu'il y a c'est que... J'étais comme vous, avant. J'ai possèdé des dizaines d'hommes, et chacun parce qu'il ajoutait une nouvelle marche à mon chemin vers la liberté. Et au milieu de tout le luxe de mon dernier mari, je crains de m'être égarée... Vous m'avez remise sur la bonne voie si je puis dire.

Elle eut un sourire pensif et but une gorgée de son verre avant de s elever à son tour.

J'ai cru repèrer un orgue dans ette demeurre. Voulez vous que je vous fasse écouter un morceau? Je suis sure qu'il vous plaira


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   Posté le 08-05-2007 à 18:31:45   Voir le profil de Kael Lozario (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kael Lozario   

Il fut enchanté de constater qu'il avait raison mais en même temps, il aurait préféré se tromper sur son compte. Il trouvait cela frustrant et cela, d'une certaine manière, lui faisait mal. Il ne comprenait comme elle pouvait le faire souffrir en prononçant quelques mots. Il n'allait pas se laisser berner, hors de question. Kael Lozario n'est pas un homme qu'on maîtrise, Kael Lozario n'est pas un homme qu'on utilise. Cet homme, on le craint, on le respècte, on l'aime...
Il la regarda et sourit légèrement. Il lui indiqua une pièce sur la gauche et répondit.


" Après vous, j'ai hâte de découvrir vos talents...^^ "


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Carmen Soares
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   Posté le 09-05-2007 à 17:49:56   Voir le profil de Carmen Soares (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Carmen Soares   

hj: Je suis amoureuse de cette chanson!^^

http://www.radioblogclub.fr/open/62271/polnaref/Michel%20Polnaref%20%20Le%20Bal%20Des%20Lazes

Elle sourit, ravie, ne préfèrant pas remarquer la contrarièté qui se lisiat dans l'attitud ede Kael. Enfi, si, elle la remarqua, mais elle prit ça pour de la simple paranoia. Après tout, elle était là, comme il le voulait, incapable de réstister à la moindre de ses attaques et lle s'était même prêtée à son petit jeu du chat et de la souris. Que lui fallait il d eplus au juste?
Elle aurait trouvé ça légèrement vexant qu'il s'énerve dans de telles conditions. Elle avait plus de raisons que lui de sortir de ses gonds.
Elle le conduisit dans une grande pièce à l'étage et s'approcha de l'instrument avec un léger sourire


C'est un de es ex qui me l'a écrite. Il trouvait qu'elle m'allait bien. Ja l'ai toujours beaucoup aimé.

. Elle caressa les touches du bout des doigts et débuita la morceau, d'aboird un peu tremblante, rougissante de honte, apeurée à l'idée de faie une piètre prestation. Sa voix n'était pas assurée et ses maisnglissaient mal. Mais après quelques accords, elle finit par se laisser aller complètement, les yeux fermés, un sourire lointain étirant le coin de ses lèvres, se sentant peu à peu entrainer par cette mélodie qu'elle estimait digne du plus beau des enfers


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Dans toutes nos différences, il n'est qu'une ressemblance. C'est cet amour flou, que j'ai pour vous. Vous êtes la tourmente, de mon ame violente. Je vous aime, je vous aime, je vous aime.
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