| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges |  | | 54 messages postés |
|  Posté le 09-05-2007 à 20:35:53   
| Il laissa de côté sa frustration et écouta la mélodie. Il vit sur ses joues ces teintes rosées qu'il aimait tant voir apparaître chez une femme et sourit. Il s'installa derrière elle et l'écouta en l'observant. Elle avait une belle voix, douce et puissante en même temps. Un timbre très spécial qui lui collait parfaitement. Il aimait bien cette chanson et félicita cet ex petit ami qui avait un don pour trouver les mots justes. Il s'avança sans faire le moindre bruit, il ne voulait pas la perturber. Lorsqu'elle eut terminé la chanson, il écarta quelques lèches de ses cheveux et souffla sur son cou.
" Comment ne pas aimer cet air lorsqu'il est interprété par une Muse ? "
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires |  | | 53 messages postés |
| Posté le 10-05-2007 à 17:43:09
| Lorsqu'elle sentit son souffle dans sa nuque, elle s efigea littéralement. Tous ses muscles se contractèrent, son coeur cessa de battre, pour reprnedre immédiatement à un rythme effrané et sa tête se remit à tourner. Elle ferma les yeux.
C'était injuste.
Injuste qu'uzn geste aussi innocent lui fasse un effet pareil, injuste qu'elle se sente incapable de rivaliser avec un tel bouffée d'amour et de désir, injuste qu'il la domine ainsi, injuste qu'elle ne parvienne pas à se convaincre...
Se convaincre que ce n'était pas des paroles en l'air, que cet homme ne faisait pas que la manipuler. Penser le contraire était absurde et naif. Kael aimait avoir un tel pouvoir sur les autres et il jouissait des réactions qu'il lui procurait. Comment pouvait il en être autrement? Il avait possèdé des milliers de femme, des milliers de corps, de smiliiers de désir. Pourquoi serait elle différente d'une autre?n Elle n'était pa sla prmeière et ne serait surmenet pas la dernière. Et elle ne devait pas être la plus captivante non plus. Après tout, elle n'était qu'elle. Et elle était parfaitement vierge. Vierge de désir ou de plaisir charnelle. Ses passions n'avaient été que liberté et sollitude. Jamais elle n'avait approché un homme pour ce qu'il était, mais bel et bien pour ce qu'il donnait.
Une proie trop facile pour être interessante.
Des larme slui brulèrent les paupières et ele fut bien forcée d'ouvrir les yeux pour tenter de ne pas les laisser couler. Elle luttait. Elle ne voulait pas qu'il remarque son état, et elle ne voulait pas avoir à le justifier.
Elle tremblait.
Tremblait de rage, d'amour, de désir, de violence et surtout de peur. Peur qu'il ne fasse la même chose que la veille, qu'il en se volatilise et la laisse seule avec ses pulsions. Après tout, il avait eut ce qu'il voulait. Suremnet pour ça qu'il l'avait laissée ce soir là. Il l'avait possèdée, que vouloir de plus?
Elle n'osa pas se retourner, de peur de ne trouver face à elle que le vide. Un vide intensemment lourd et douloureux. Peur que cet homme ne redevienne qu'une douloureuse et déchirante espèrance. Elle parvint tout de même à articuler en controlant tant bien que mal le tremblement de sa voix.
Une muse n'a besoin que d'un héros...
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Dans toutes nos différences, il n'est qu'une ressemblance. C'est cet amour flou, que j'ai pour vous. Vous êtes la tourmente, de mon ame violente. Je vous aime, je vous aime, je vous aime. |
| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges | | | 54 messages postés |
| Posté le 10-05-2007 à 18:32:09
| Son sourire s'élargit en un rien de temps. Les quelques secondes qui s'écoulèrent avant qu'elle ne lui réponde lui parurent infiniment longues...tout ce qu'il espèrait. Bien entendu, il savait pertinemment qu'elle ne s'emporterait pas, qu'elle tenterait de se maîtriser et c'était cela qu'il cherchait. Il ne supportait pas ces femmes qui dès le premier regard se jette sur lui pour en avoir plus. Toujours plus. Cette soif de désir qu'il procurait chez ces femmes, cela le rendait jouïssif mais maintenant...il en avait assez de ces proies faciles, tout comme elle. Il jouait à un jeu dangereux où il s'était déjà brûlé les doigts...
Il se releva et recula doucement. Il répondit en gardant ce sourire.
" Vous croyiez ? Je ne suis pas du même avis...Je dirais qu'une Muse a besoin d'un homme, avant qu'il ne soit un héro. Cet homme prendrait cette Muse pour la sienne et ils seraient à jamais liés sans pour autant être réunis...Cela me paraît être une image assez réaliste, non ? "
Il prit sa main et s'agenouilla à côté d'elle. Il la regarda et dit tristement, sans être théâtral.
" Si je suis cet homme, vous ne pouvez être ma Muse car vous êtes celle d'un autre que moi. "
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 11-05-2007 à 18:38:23
| Elle écouta ces paroles avec une douleur infinie, persuadée qu'il jouait. Il était convaincant, il fallait le reconnaitre. Il avait remarqué que la seule corde qu'elle possèdait à son arc était cette histoire de sincèrité. Et de fidèéitàé. Si elle avait pu être sure que ses sentiments étaient sincères, peut être pas autant que ce qu'elle ressentait à ce momnet même, mais au moins un peu... Elle ne résitserait pas comme ça. Elle finirait par s'abandonner. Le suivre jusqu'au paradis. Ou jusqu'en enfer. Mais là... Forcemment, elle doutait. C'était un beau parleur, rien de plus.
Mais quand il prit sa main, elle se sentit bruler de nouveau. Bruler d'un feu tellement intense qu'il en devenait douloureux. Son coeur battait à lui en faire mal, sa gorge brulait de ne pouvoir lui avouer ses sentiments, et sa tête continuait à hurler toute l'imprudence d'un tel amour.
Elle lui rendit un regard baigné de larmes et finit par sourire elle aussi avant de retirer sa main. C'était plus qu'elle ne pouvait en supporter.
Ne dites pas de bêtise. Mon coeur est à vous dès notre prmeière rencontre. Mais vous... Vous ne m'aimez que pour ma saveur. Saveur qui finira par vous dégouter. Et je ne le supporterais pas. Une douce illusion vaut mieux qu'un pieux mensonge.
Elle se leva finalement, s'efforça de réunir tout le peu de dignité qui lui restait et quitta la pièce la tête haute. Elle se voyait mal s'effondrer en pleurs sur lui. Cela n'aurait fait que le gêner. Et elle ne voulait pas que cette soirée soit gachée par un trop plein d'émotion.
The show must go on...
Elle se rendit dans la cuisine et, n'ayant rien trouvé de mieux poiur se vider la tête et l'empêcher de tourner encore plus, elle prit des couverts et retourna machinalement la salade pour la mélanger
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| Posté le 11-05-2007 à 18:49:40
| Il la laissa partir et resta ainsi, le regard pensif, quelques minutes. Il réflechissait à ce qu'elle venait de dire à propos des sentiments qu'il pouvait éprouver à son égard. Qu'en était-il réellement ? Comment pouvait-elle le savoir alors que lui n'en était pas même convaincu...? Il s'était persuadé trop vite qu'elle serait une compagne de plus...mais elle avait quelque chose de différent. Cela n'était pas dû uniquement au fait qu'elle possède des ailes. Peut-être était-ce dû à son rang ? Sa prestance ? Sa beauté infinie...Il ne saurait répondre à cette question mais il était certain qu'elle n'était plus une aventure d'un soir. Il se releva et se rendit dans la cuisine. Il la regarda, appuyé contre le mur. Une rose sans épines, une tentation certes, mais plus encore...Il s'avança encore un peu et resta un mètre derrière elle. Il murmura d'une voix suave, sans sourire.
" Comment pouvez-vous êtres aussi sûr concernant mes sentiments ? Vous ne me connaissez pas encore assez et même s'il s'agissait de ce qu'on dit de moi...sachez que ce n'est plus valable depuis longtemps. "
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 12-05-2007 à 13:51:40
| Elle arrêta ce qu'elle était entrain de faire en entendant ses repproches. Un sourire invisible se dessina sur ses lèvres et elle répondit d'une voix douce.
Comment pourrait il en être autrement? Vous me manipulez depuis le début. La rose, cette maison qui n'était pas la votre, cette lame sous ma gorge, mon cheval, ce doux espoir que vous m'avez donné hier soir avant de le briser aussitot, cette maison... Pourquoi ces paroles seraient elles différentes du reste?
Elle se tourna vers lui avec un sourire un peu nostalgique.
Ne vous justifiez pas. Vous n'en avez pas besoin. Si je suis ici, c'est que j'ai accepté cette idée. Je ne vous ai jamais demandé de me promettre mondes et merveilles. Votre présence suffit.
Elle s'approcha de lui avant de s'immobiliser. Elle tendit une main vers sa joue et stoppa son geste avant de l'effleurer. Elle ne parviendrait pas à faire le premier pas. Elle ne savait pas. Elle n'était plus sure de rien. La certitude était devenue une idée lointaine pour elle. Auprès de lui, tout n'était que doutes et merveilleuses incertitude. Et elle n'en attendait pas moins venant de lui. Et our la première fois, elle ne lutta pas. Elle laissa aller son coeur devenu fou, laissa sa tête lui tourner et savoura cette sensation sans se snetir coupable
J'ai tellement peur de vous décevoir. Je vais trop loin?
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| | Kael Lozario | | Tu joues avec mes règles. | | Les Ailes Rouges | | | 54 messages postés |
| Posté le 13-05-2007 à 09:56:17
| Il sourit légèrement, ferma les yeux et mit sa main par-dessus celle de la jeune femme. Il répondit dans un murmure tendre.
" N'ayez jamais peur de dépasser vos limites... "
Il rouvrit les yeux, la regarda et prit sa main pour y déposer un baiser dans la paume de celle-ci sans la quitter du regard. Une douce brûlure se répendit en lui comme en elle et il ajouta.
" Vous ne pouvez rien faire qui me décevra, soyez-en sûre. "
Il l'attira contre lui, caressa son visage, déposa quelques baisers dans sa nuque et remonta lentement pour arriver à ses lèvres. Il l'embrassa doucement, savourant le goût de ses lèvres, puis avec plus de fougue et de passion. Un baiser ardent et tellement sensuel que son coeur s'emballa sans qu'il sache pourquoi.
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 13-05-2007 à 19:44:24
| Rien.
Rien de ce qu'elle avait pu vivre ou imaginer vivre égala cet instant. Elle s'était passé des milliers de fois cette scène dans sa tête, la tournant de toutes les manières possibles et imaginables et ni le lac, ni les feux d'articife, si la plage au coucher du soleil ne furent plus beaux que cette cuisine dans laquelle il daigna enfin réaliser tous ses rêves.
Quand sa main prit la sienne, elle se snetit déjà troublée, mais surtout apeurée. Croyant qu'il voulait simplement l'écarter, une vague de terreur l'envahit à l'idée qu'elle ne la désire pas. Et puis il embrassa sa paume. Elle passa de l'angoisse à la confusion. Que lu dit il? Elle n'en savait rien. Sa voiy était si douce qu'elle n'en écouta que le timbre. Il l'attira contre lui. Elle sentit sa poitrine contre son torse, sa jambe contre la sienne. Il enflamma son cou de baisers plus doux que la plus douces des caresses et finit par atteindre ses lèvres.
Fermant es yeux pour savourer la vie qu'il insufflait en elle, elle ne put cesser de penser à ses maisn puissnates autour d'elle. Posant las mains contre son torce, elle gouta cette douceur brulante, puis la passion qui l'neflamma enfin. Son corps ne fut plus qu'un brasier ardent et elle répondit à c baiser avec toute sa force, déployant tout son amour et son désir pour lui. Elle lui arracha presque sa chemise et se colla un peu plus contre ce corps tant désiré, tant attendu, serrant le torse de juene homme entre ses doigts, pour sentir. Sentir encore ce contact qui la faisiait mourrir de désir.
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| Posté le 14-05-2007 à 18:16:11
| Habituellement, lorsqu'il offrait son premier baiser à une jeune femme, il lui suffisait de quelques secondes pour la satisfaire. Mais pas cette fois...car c'était lui qui avait besoin d'être satisfait de ce baiser. Il fut plus qu'agréablement surpris de voir à quel point elle était attachée à ce baiser. Autant...sinon plus encore que Kael. Cette passion était tellement forte qu'il ne savait pas s'il pourrait un jour se détacher d'elle. Il ressentait lui aussi une fournaise qui avait du mal à se contenir et croyait avoir oublié tout le reste. Il priait Dieu et Satan pour qu'ils leur laissent du temps, qu'ils jouent de leurs dons pour arrêter Chronos...Au bout d'un moment, il voulut reprendre sa respiration et détacha doucement ses lèvres, sans pour autant les quitter. Il souffla et dit dans un sourire doux, les paupières closes.
" Je crois qu'après cet instant, il me sera impossible de vous abandonner dans les bras de votre époux... "
Il la regarda, pétrifié à l'idée qu'elle renonce à lui, à ce qu'il pouvait lui offrir et à tout ce que cela impliquait. Il chuchota.
" Pour la première fois j'ai peur...Peur à l'idée que vous puissiez partir. "
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| Posté le 14-05-2007 à 18:34:16
| Ce baiser se termina trop vite à son gout. En y réfléchissant bien, elle aurait voulut qu'il ne s'arrête jamais.
Encore engourdie par la magie du moment précédent, elle eut du mal à reprendre pied sur terre quand il lui parla de son époux et enne fut totalement destabilisée par son regard.
Elle prit peur elle aussi. Il était évident que jamasi elle ne pourrait abandonner Kael pour son mari. Mais comment lui dire sans qu'il ne se vexe? Etait elle prête à assumer cette relation au point de le quitter? Et surtout... Etai elle prête à croire Kael au point d'abandonner toute sa vie entre ses mains.
Elle n'en savait rien. Mais pour tout dire, elle l'aurait suivit ou qu'il aille. Jusqu'en enfer. Elle lui répondit par un regard un peu perdu et se blottit contre lui avant de murmurer dans un souffle.
Jamais. Jamais je ne pourrai partir de ma propre initiative. Lasimple idée de vous quitter me fait frémir d'horreur.
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| Posté le 14-05-2007 à 20:18:47
| Il fut rassuré et l'enlaça tendrement, caressant ses bras du bout des doigts. Il ferma les yeux et la serra un peu plus fort contre lui. Qu'elle femme pouvait faire ressentir ce que Kael ressentait en ce moment ? Comment ne pas désirer l'être qui vous transporte comme jamais ? Il huma son parfum subtil et délicat, avec une pointe d'aggressivité...Un mélange parfait que nul ne pourrait imiter. Il caressa ensuite ses cheveux, doux comme un millier de pétales de rose. Il se dégagea ensuite lentement et lui releva le visage pour le détailler. Il la contempla avant de lui lancer un de ses magnifiques sourires. Il s'approcha doucement de ses lèvres et murmura avant de les embrasser encore.
" C'est tout ce que je voulais entendre... "
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 15-05-2007 à 18:26:50
| Elle frissona quand il lui caressa les bras, efleurant sa peau et la marquant à tout jamais de brulures douces et tellement ennivrantes, savoura son étreinte et rougit à son regard si pénétrant, au sourire qu'il lui lança. Elle rougit comme jamais, ne pouvant plus se controler, tentant même de baisser à nouveau la tête tant elle était gênée. Sa voix fut à nouveau si douce et puissante, qu'elle sentit son coeur vibrer à chaque mot, son corps s'enflammer à nouveau. Elle était totalement ivre. Ivre d'amour et de désir. Ivre de lui, tout simplement.
Elle répondit à son baiser avec une duceur volontaire, effleurant à peine ses lèvres.
Posant uen main contre sa joue, elle se détacha très légèrement, n'osnat pas lui demander si lui serait prêt à l'abandonner. Elle avait bien trop peur de la réponse. Et elle ne voulait pas gacher cet instant.
Elle colla sa joue contre la sienne et sentit son oduer si puissante, un mélange subtil de charme et de bestialité, de douceur et de violence. Une explosion de svaeurs à lui tout seul, capable d'emballer son coeur comme jamais il n'avait été emballé. Elle baissa doucemnet la tête et déposa un baiser dans son coup, léger, aérien, osant à peine l'éffleurer à nouveau. Et promenan ses lèvre le long de ses épaules avant de fermer les yeux, lentemnet, pour savourer chauqe instant. Elle le touchait comme on touchait une rose. Il ne fallait pas l'abimer. Préconieusemnet, enlever chaque pétale pour découvrir un parfum unique et splendide. Mais cette rose là, à l'inverse des autres, jamais elle ne serait mise à nue. Un pétale la couvrirait toujours, et toujours plus splendide que le précédent.
Elle prit la main du jeune homme et la posa contre sa joue rulante, puis la fit glisser contre son coeur avec un sourire lointain, pour qu'il sente à quel point il battait vite. Elle finit par murmurer dans une souffle.
Emmenez moi. Ou vous voulez. Ailleurs. Loin
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| Posté le 15-05-2007 à 19:01:15
| Il se sentit également transporté par la façon qu'elle l'aimait. Elle était tellement douce, tendre et désireuse...Lui n'avait qu'une envie, c'était qu'elle reste à jamais éprise de lui. Une telle femme amoureuse, ou même désireuse n'était que plus belle encore. Il sentit son coeur lorsqu'elle prit sa main et la posa doucement sur sa poitrine. Il sourit et sentit qu'il rougissait également. C'était la première fois qu'une femme agissait de la sorte avec lui. Il prit sa main à elle et la fit glisser le long de son corps, puis remonta au niveau de son propre coeur. Il battait vite, peut-être pas aussi rapidemment que le sien mais quand même...^^
Il sourit à nouveau et l'entraîna à l'étage, dans sa propre chambre. Spacieuse juste ce qu'il faut, satinée et douce, l'ambiance qui se reflettait était magique. Kael allonga doucement la jeune femme sur le lit et l'embrassa encore, avec plus de passion...toujours plus.
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 15-05-2007 à 19:21:19
| Elle ferma les yeux pour sentir sa main glisser sur son corps, puis les accélération que cela provoquait sur leur coeur à tous les deux. Un sourire étia ses lèvres. Elle ne parvenait pas à y croire. Elle faisiat battre son coeur. Derrière tout le désir qu grandissait en elle, elle ne put s'empêcher de ressentir en plus une immense fierté.
Elle le laissa l'entrainer dans la chambre et savoura la contact du satin sous elle, admira le décor, bien qu'elle eut du mal à cncentrer son attention sur autre chose que sur lui.
Son corps s'enflamma encor ebien plus quand il s'allongea sur elle pour l'embasser à nouveua et elle l'embrassa à son tour, promenant ses maisn contre son torse, folle d'amour et de désir. La pensée de cette morsure lui revint en tête. Le ferait il? Elle l'espèrait. Et le craignait, comme toujours, L'ultime épruve, une sorte de test aux yeux de la juene femme. Et si elle n'était pas à la hauteur de ses espèrances.
Le baiuser quil lui donna à nouveau fit fondre ses doutes et elle le supplia presque de ne jamais cesser de l'embrasser pour qu'elle ne cesse jamais d'y croire.
Elle posa sa main à l'arrière du crane de Kael et détacha quelques secondes ses lèvres de siennes pour couvrir son visage et on cou de baiser. Elle lui mordilla tendremnet l'oreille avant de l'embrasser à nouveau, espèrant, priant pour que le feu qui l'amimain ne s'éteigne jamais. poour que le contact de leur corps enlassés ne soit pas qu'un souvenir et qu'il daigne encore la combler de bonheur
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| Posté le 16-05-2007 à 17:06:58
| Ils échangeaient leur souffle avec rapidité, envie et plus de désir encore. Il n'y avait rien à dire, à ajouter, seuls leurs gestes signifiaient quelque chose pour eux...Kael se laissa faire lorsqu'elle l'embrassa et ferma même les yeux. Il n'osa humer sa gorge, de peur que cet instant devienne à jamais scellé dans la peur. Il la regarda et commença à retirer sa veste quand elle arrêta son geste. Ils se regardèrent et il lâcha son vêtement. Elle voulait le dévêtir. Il se redressa doucement et prit sa main. Ils étaient tous les deux à quelques centimètres l'un de l'autre et leuur pouls allaient tellement vite qu'on aurait pû entendre les battements de leur coeur de l'extérieur. Kael prit les mains de la jeune femme et les plaça sur son propre corps, attendant qu'elle le dépossède de ses vêtements.
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| | Carmen Soares | | L\'Enfer est mon Paradis | | Les Ailes Noires | | | 53 messages postés |
| Posté le 16-05-2007 à 21:32:55
| Ellle eut un léger sourire quand il prit ses mains pour les poser sur son torse divin et fit doucement glisser la veste du jeune homme le long de ses épaules, le regard plongé dans le sien, totalement envoutée apr son iris à la fois chaud comme le miel et froid comme la glaca. Lentement, elle couvrit son cou de baiser tandis qu'elle otait sa chemise, bouton par bouton, fibre par fibre... Elle finit par la faire glisser elle aussi. Le souffle coupé, elle parcourut doucement chaque centimètre de son torse, d'abord l'effleurant à peine, puis emprunte d'un désir violent, elle l'embrassa avec force alors qu'elle faisait cèder es dernières resistances de son pantalon. Elle embassa ses lèvres, ses épaules, caressa son buste, ivre de désir, le consumant comme un fruit défendu, se rendant soudain compte à quel point ces années de caresses chastes avec son mari l'avaient affamée de violence
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